BREF DE TECH

Dimensions : H 20 cm x  L : 20 cm x H 5 cm

Matériaux : inox, bois

Infos + : levier grande course, double incurvation, double levier

EN 2 MOTS…

Tire-bouchon de sommelier en acier inoxydable brossé et manche en hêtre, GHEMME doit son nom à l’excellent vin produit dans la commune éponyme, province de Novare dans le Piémont italien. Dessiné par Enrico Albertini et ne dérogeant pas aux prévalences de la maison Legnoart, GHEMME concilie savoir-faire, qualité des matériaux, écologie, esthétique et praticité.
Présenté dans un coffret luxueux en bois massif, il enivrera plus particulièrement l’âme des amateurs de vins.

…COMME EN 100 !

GOD SAVE L’ANGLETERRE, SANS QUI RIEN NE SERAIT ARRIVÉ...

Si le vin a pour berceau le bassin méditerranéen, c’est à l’Angleterre de Jacques puis Charles (premiers tous deux) qu’il faut rendre grâce puisque c’est là, dans la première moitié du 17ème siècle, qu’aurait été inventé l’archétype du tire-bouchon. En revanche, le premier brevet (accordé à un certain Samuel Henshall) ne verra le jour que deux siècles plus tard, en Angleterre toujours, ce qui en dit long sur la pugnacité des gentlemen lorsqu’il s’agit de faire avancer l’œnologie.
Et ce qui constitue pour nous, il faut bien l’avouer, une excellente invention.

E VIVA ITALIA... QUI NOUS LE REND SI BIEN !

Pour l’amateur de vin, l’ouverture d’une bouteille est une affaire qui requiert tout le sérieux de la légèreté à venir. De ce fait et en tant que protagoniste principal, le tire-bouchon se doit d’être irréprochable. Voilà pourquoi GHEMME existe. Parce qu’il ne fait aucun doute que, pour Il signor Albertini, le vin n’est pas un vain sujet.

DE L’IMPORTANCE DU TIRE-BOUCHON.

Déboucher une bouteille n’est pas acte anodin. C’est d’abord l’avoir choisie en accord avec le mitonné de votre JOLIE COCOTTE. C’est aussi savoir l’assortir au bois d’amitié dont votre table se chauffe. Hors, si vous n’avez pas l’outil ad hoc, celui qui libère la part des anges d’un «plop» bref mais prometteur... Si vous n’avez pas ce tire-bouchon irréprochable qui ouvre l’appétit d’un moment partagé, ce moment s'en trouvera terni et la superbe du vin dégradée.
"La seule arme qui m’intéresse, c’est le tire-bouchon" disait Jean Carmet, amoureux du vin devant l’éternel... Désarmant de bon sens, non ?

Pour finir, inutile de le rappeler : il ne faut pas boire comme un fiancé, mais avec modération. Ce à quoi j’ajouterais, citant Courteline :
"Mieux vaut boire trop de bon vin qu’un petit peu de mauvais." Mais que cela reste entre nous.